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ASTROLOGIE

Conçu à l’image de l’univers, le Zodiaque met en relation à l’intérieur de son cercle, les sept planètes, les douze signes et les quatre substances principales dont sont constitués tous les corps de la nature, appelés « éléments ». Chacun des douze signes est associé à un des quatre éléments et assujetti à une des sept planètes. Comme dans l’univers tout participe à tout…

L’HOROSCOPE

Seul un savant astrologue peut expliquer avec précision l’art de dresser un horoscope. Mais ces explications, en vertu de leur complexité, ne seraient entendues que par des doctes astrologues, qui seuls, pourraient en saisir toutes les subtilités et par suite, les approuver ou les contester. Les astrologues ont le sait ne sont pas toujours d’accord entre eux.

Disons donc simplement qu’on désignait à l’origine par « horoscope », le point du cercle zodiacal que l’observateur terrien voit émerger de l’horizon est à l’heure de la naissance. En considérant ce point du ciel, appelé ainsi « ascendant » et les différents aspects des astres à ce moment précis, l’astrologue, après des calculs compliqués, établi le thème généthliaque du natif.

Le thème de géniture tracé selon le système égyptien des douze lieux se présente ainsi (l’Ascendant). Dans ce lieu se trouve contenue la vie des hommes, leur souffle vital. Le second lieu, placé dans le second signe en partant de l’Ascendant, est appelé Porte d’en-bas de’Hadès ou Espoir.

Le troisième lieu est nommé « la Déesse »(la Lune) ou Frères car il concerne »les Frères et les Amis ».
Le quatrième lieu, (diamétralement opposé au milieu du Ciel) appelé fond de Ciel (ce point invisible), « nous montre les parents », « le patrimoine »,  « la fortune » on l’appelle aussi « parents ».
Le cinquième lieu, grâce auquel on « découvre le nombre et la qualité de naissance » est nommé Fils et aussi Bonne Fortune « parce qu’il est le lieu de Venus ».
Le sixième lieu dans lequel « nous trouverons la cause de la maladie et de la santé » est appelé santé ou aussi mauvaise Fortune car il est le « lieu de Mars »
Le septième lieu, situé au couchant, diamétralement opposé à l’Ascendant concerne « la qualité et la quantité des mariages » on le nomme conjoint mariage.
Le huitième lieu, qui nous fait découvrir « de quelle nature sera la mort » porte le nom de Mort.
Le neuvième lieu est celui du Dieu Soleil. il est attrait aux « religions et aux voyages ».

LES DOUZE SIGNES

Au 2ème siècle de notre ère, Claude Prolémé a exposé dans la Tétra-bible les grands principes de l’astrologie universelle et personnelle. Six signes ont une nature masculine, six une nature féminine. Les natures qui leur ont été attribuées n’ont aucun rapport avec leurs représentations figurées ou leurs noms. En partant du Bélier considéré comme « le mâle et le genres alternent signe en signe ». Cet ordre alternant leur est assigné parce que  » l’union du mâle et de la femelle est nécessaire ». Les signes féminins « obéissent » aux signes masculins.

Parmi les quatre éléments, L’air est attribué aux signes masculins, la terre et l’Eau des signes féminins.
Parmi les quatre éléments, le Feu sont attribués aux signes masculins, la Terre et l’Eau aux signes féminins.
Les douze signes sont aussi répartis selon « les vertues qu’ils ont par eux mêmes et dans leurs relations entre eux ».
Le système des quatre éléments, les « élémenta » fut relié à l’astrologie et joua un rôle important dans cette discipline ésotérique.  A la doctrine des quatre éléments établie par Empédocle, les pythogoriciens ajoutèrent des conceptions mathématiques et géométriques. Pour Philolaus (env.450 av ) la Terre est caractérisée par le »cube », le Feu par le tétraèdre »(polyèdre à quatre faces triangulaires), l’Air par « l’octaèdre »(polyèdre à huit faces), l’Eau par l’isocaèdre (polyèdre à vingt faces). Les astres sont considérés comme un cinquième élément qui relie les quatre éléments entre eux.  A ce cinquième élément correspond le « dodécaèdre », une figure pentagonale à douze cotés qui, selon l’alchimiste Stéphanus d’Alexandrie’5-7ème siècles après Jésus Christ répond aux douze signes du zodiaque ».

LE GRAND JEU DE MADEMOISELLE LENORMAND

MARIE-ANNE ADELAIDE LE NORMAND née à a Alençon en Normandie en 1772, fut la plus grande voyante de son temps. Elle prédit notamment la fin tragique de Murat et de Robespierre. Napoléon Bonaparte fut également un de ses consultants et on sait maintenant qu’elle exerça une très grande influence sur Joséphine de Beauharnais. Le jeu qu’elle créa « le grand jeu de Mademoiselle Lenormand permet une interprétation précise des cartes selon le type planétaire.

Aujourd’hui ce jeu est très utilisé dans les consultations de voyants traditionnels, ce jeu a su faire sa place tant il est riche d’indications. D’une apparence hermétique et compliquée par le nombre de sujets présents sur chaque carte de ce jeu devient simple et logique à partir du moment ou tous les éléments sont expliqués en détails dans un langage clair et ludique.

CARTES DIVINATOIRES DE MARIA KARELLA

« La voyance est un don, l’interprétation un art et la consultation un acte d’amour » Yaguel Didier.
De ses symboles, Marina Karella a su faire une véritable oeuvre d’art en 27 parties ; 27 cartes, 27 images, 27 variations d’une symbolique commune dont la cohérence du traitement pictural s’articule autour de silhouettes floues, de paysages blancs, d’ombres secrètes cachant personnages anges ou démons.